• Pouvoir d'achat des retraité.es

    Pouvoir d'achat des retraité.es

     


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  • CENSURE ET RÉPRESSION DANS L’ÉDUCATION NATIONALE : 

    NOUS NE MARCHERONS PAS AU PAS !

    MutéEs d’office ou remerciéEs pour avoir dénoncé le racisme et le sexisme de leur proviseur, accuséEs d’avoir défendu les personnels précaires ou de voter contre le proviseur au CA, voici ce qui est arrivé en 2022-2023 à quatre membres de la communauté éducative :

     

    -Emmanuel Roux et Elias Sobhy, militants à la CGT Educ'action : licenciés

    -Christine Gorce, professeure documentaliste et militante à SUD éducation et Fred Salvy, CPE et militant à la CGT Educ'action : mutéEs d’office “dans l’intérêt du service”

    -sans parler des contrats de trois puis cinq AED non-renouveléEs entre 2021-2022 et 2022-2023. 

    Les militantEs du lycée Victor Hugo subissent depuis 2 ans un véritable plan social de la part du rectorat d'Aix-Marseille, doublé d'une répression anti-syndicale sans fin.


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    Coupes budgétaires de 10 milliards : 

    la CGT dit non

    Alors qu'un décret publié le 22 février 2024 au Journal officiel acte 10 milliards d’euros de coupes budgétaires et instaure l'austérité, la CGT appelle à

    une grande mobilisation dans la fonction publique ce mardi 19 mars. 

    Pour en finir avec la fuite en avant austéritaire destructrice des droits sociaux, la CGT appelle à agir partout lors de la journée d’action des personnels de la Fonction publique le 19 mars et

                              la journée de mobilisation des retraité·es le 26 mars                                  constituent pour cela de premières échéances majeures.


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  • Coupes budgétairesCoupes budgétaires de 10 milliards :

    les répercussions pour le logement

    300 millions d'euros en moins pour le logement malgré la crise

    L'annulation de 736 millions d'euros sur la mission « Cohésion des territoires » touche des politiques publiques comme l'aide à l'accès au logement (- 300 millions d'euros) ou l'urbanisme, les territoires et l'amélioration de l'habitat (- 358 millions d'euros). 

    Pour l’accès au logement, c’est l’équivalent de la baisse des APL de 42 euros par an pour chaque personne qui y a droit selon le collectif Nos services publics.

    La question du logement est centrale dans la vie de la population, et plus particulièrement dans celles des travailleurs et des travailleuses. 

    Le droit au logement est un principe constitutionnel

    Notamment, la garantie d’un logement digne, accessible et durable pour tous est un élément fondamental du vivre-ensemble, de l’intégration et de la cohésion sociale dans notre société. 

    Pourtant, en France, près de 15 millions de personnes – une sur cinq – souffrent de la crise du logement (difficultés à se loger, à entretenir son habitat, sur occupation, insalubrité, etc.).

    La CGT estime qu’il faudrait construire entre 400 000 et 500 000 logements par an dont 200 000 à 300 000 logements sociaux pendant cinq ans pour résorber durablement la crise du logement.

    Et pourtant, les six dernières années de mandat Macron sont celles où la France a construit le moins de logements au cours des trente dernières années.

    Les budgets alloués pour la rénovation thermique des logements sont insuffisants

     

    Agir pour la rénovation massive du parc social et, plus largement, du parc de logement, c’est améliorer les conditions d’existence de la population, agir efficacement pour limiter le changement climatique et développer l’emploi.


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  • Coupes budgétairesCoupes budgétaires de 10 milliards :

    les répercussions pour le handicap

    Une coupe budgétaire discriminante

    Parmi les 10 milliards d’euros de coupe budgétaire, 230 millions d’euros seront retirés à la dotation 157 du budget de l’État qui concerne l’allocation adulte handicapé·e (AAH) et l’aide au poste versée aux établissements et services d’accompagnement par le travail (Esat).

    L’AAH concerne aujourd’hui plus de 1,2 million de bénéficiaires. 

    Son montant pour une personne seule est à hauteur de 971,37 euros par mois. Étant donné que le gouvernement a annoncé une revalorisation des minima sociaux pour 2024, l’AAH est destinée à dépasser la barre des 1 000 euros à la date du 1er avril 2024. 

    On peut donc estimer que cette annulation de 230 millions d’euros ne concerne pas cette partie-là du programme 157.

    On peut en revanche s’inquiéter sur la perte de financement de l’autre partie du programme : l’aide au poste versée aux Esat au titre de la garantie de rémunération des travailleur·ses handicapé·es. 

    Cette rémunération garantie est la seule source de rémunération que connaissent les usager·es des Esat, n’ayant pas de salaires car non reconnu·es comme des travailleur·ses. La CGT a d'ailleurs adressé une lettre ouverte à la première ministre pour exiger d'accorder le statut de salarié·es à toutes les travailleuses et tous les travailleurs handicapé·es en ESAT.

    Si les coupes dictées par Bruno Le Maire concernent donc bien cette partie-là du budget, Bercy fait alors 230 millions d’euros d’économies sur le dos de travailleur·ses déjà précarisé·es autant par leur handicap que par les institutions qui les emploient : le risque étant que les employeurs d’Esat, voyant cette aide diminuée, diminuent également la rémunération garantie des travailleur·ses handicapé·es d’Esat.

    À rebours de cette politique discriminatoire de l’État, la CGT porte un tout autre projet sur les question de handicap :

    ·         l’égalité d’accès aux droits et le droit effectif à la non-discrimination ;

    ·         une véritable prise en compte de la pénibilité et de l’adaptation du travail à la personne ;

    ·         une Sécurité sociale adaptée et qui réponde aux besoins ;

    ·         aller vers de nouveaux droits.


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